1 novembre 2018 - 14:56
Le Parcours X franchit une autre étape vers sa réalisation
Par: Denis Bélanger

Stéphanie Larochelle, Olivier Barcelo Desrosiers, Jean-François Larocque et Caroline Filion. Photo: Archives

Le promoteur d’un sentier d’hébertisme à Mont-Saint-Hilaire, Jean-François Larocque espère pouvoir démarrer au printemps prochain le Parcours X, une course à obstacles sur un parcours de quelques kilomètres.

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Plus précisément, le conseil de la MRC de la Vallée-du-Richelieu a adopté une modification du règlement de zonage dans le secteur visé pour le projet. Cette résolution fait suite à l’adoption par la Ville de Mont-Saint-Hilaire d’un changement de zonage pour répondre aux demandes de l’entrepreneur, qui exploite également une entreprise de peinture industrielle à Mont-Saint-Hilaire. M. Larocque doit maintenant obtenir l’aval de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).

Les autres partenaires de M. Larocque dans l’affaire sont Olivier Barcelo Desrosiers, Stéphanie Larochelle, Caroline Filion et Patrick Cholette.

Une dernière année chargée
Si M. Larocque a été plus d’un an sans avoir des développements concrets de la part de la ville, les derniers mois ont été remplis de rebondissements. En effet, ce résident de Belœil avait déposé son projet au Comité consultatif d’urbanisme en 2016, qui avait d’ailleurs donné une première orientation favorable pour modifier le zonage. Cela se passait toutefois avant l’adoption en 2017 du plan d’urbanisme durable (PUD) qui a été adopté plus tard que prévu et mis ainsi le projet du Parcours X sur la glace.

 

Le terrain du Parcours X se situe entre le boulevard Sir-Wilfrid-Laurier et le chemin des Carrières et est également situé en zone agricole et dans la bande tampon de la réserve naturelle Gault. En décembre 2017, la demande de modification de zonage avait été refusée, car le projet ne cadrait plus avec les objectifs du PUD dont l’un des objectifs était de protéger les boisés.

La Ville a néanmoins, à la suite de ce refus, tendu une perche au promoteur du projet, soit l’embauche à ses frais d’une firme externe pour avoir une autre opinion sur le sujet. Le Groupe Hémisphères a été embauché pour mener une étude d’impact et a finalement donné une orientation favorable au projet.

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