« Ça faisait quelques semaines que nous voulions faire quelque chose. En raison de la COVID-19, nous ne faisons plus d’activités d’école, car les élèves sont toujours en bulle, rapporte la directrice Sophie Lapointe. Finalement, je me suis organisée pour planifier quelque chose qui demanderait peu de travail aux enseignants. Je tiens toutefois à souligner le travail des enseignants David Rancourt et Catherine Lavigne qui ont fait en sorte que la journée soit un succès. »

Les élèves ont pu s’amuser aux épreuves de souque-à-la-corde, course à obstacles et glissade sur matelas. Il y avait aussi un jeu de quilles géantes. En fait, un élève poussait un camarade dans un traîneau pour faire tomber le plus de contenants d’eau qui servaient ainsi de quilles. À l’heure du dîner, les jeunes ont pu danser sur la musique de DJ Seriousblack.

« L’école a été divisée en deux pour respecter la distanciation sociale. De plus, nous nous sommes assurés que chaque groupe ait son propre matériel au lieu d’avoir des stations pour l’ensemble de l’école. Les élèves de sixième année ont été mis à contribution pour animer les différentes activités. L’activité avec le DJ s’est bien déroulée aussi, c’était un gros party. »

Une annonce à analyser

Sur un autre ordre d’idée, Mme Lapointe a commenté brièvement le retour des activités parascolaires à compter du 15 mars. « Tout ce que le gouvernement annonce entraîne une logistique à gérer pour nous. Rappelons que les activités scolaires ne peuvent se faire que par classe-bulle. Il est difficile pour l’instant de se faire une tête sur cette annonce. »