L’an dernier, Belœil s’est dotée d’une politique en matière de recouvrement. Elle a ainsi mandaté une agence pour tenter de récupérer le montant de réclamations oubliées au contentieux par manque de suivi en raison notamment d’un roulement de personnel au service du greffe, explique le porte-parole de la Ville, Louis-Jacques Pineault.
Les réclamations impayées visaient, par exemple, des balances d’assurances ou des fournisseurs pour des travaux mal effectués.
Les factures radiées l’ont été entre autres parce que les compagnies ont déclaré faillite ou qu’aucun recours légal n’était possible. Certaines réclamations remontaient à plus de trois ans.
Belœil a seulement pu récupérer les montants de quelques factures parmi les réclamations non payées.
«Depuis l’année dernière, on a un système de suivi pour éviter que ça se reproduise», mais la Ville pourra toujours radier des factures dans certains cas, indique M. Pineault.