29 avril 2015 - 00:00
Points forts et points faibles
Par: Denis Bélanger
Saint-Mathieu-de-Belœil ne dispose pas de certaines infrastructures de loisirs comme un aréna ou une piscine. La Ville a toutefois des ententes avec les autres villes pour que ses citoyens paient le tarif résident.

Saint-Mathieu-de-Belœil ne dispose pas de certaines infrastructures de loisirs comme un aréna ou une piscine. La Ville a toutefois des ententes avec les autres villes pour que ses citoyens paient le tarif résident.

La perfection n’est pas de ce monde alors que chacune des municipalités de la région ne peut pas plaire à tous, et les élus en sont conscients.

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Saint-Mathieu-de-Belœil ne dispose pas de certaines infrastructures de loisirs comme un aréna ou une piscine. «Nous établissons des ententes avec les autres villes pour que nos citoyens paient le tarif résident et c’est nous qui déboursons la différence. Le transport en commun est toutefois un des services qui n’est pas offert», admet Michel Aubin.

Saint-Denis-sur-Richelieu est aussi privé de certains services que l’on retrouve dans de plus grandes municipalités. «Nous n’avons pas de transport en commun. Mais nous offrons quand même plusieurs services et une belle qualité de vie. Quelqu’un qui demeure dans le noyau villageois peut accéder aux différents services même s’il n’a pas de voiture», ajoute Ginette Thibault.

Pour sa part, Mont-Saint-Hilaire vit une réalité bien différente. Les infrastructures sont au rendez-vous, mais ne conviennent pas au portefeuille de tous. «Nous avons aussi une certaine qualité de vie, un bas taux de taxe et des services. Tout cela a toutefois un prix pour les jeunes familles. L’offre de service pour cette clientèle est restreinte, mais nous voulons y travailler. Et on en voit de plus en plus des jeunes familles», ajoute le maire Yves Corriveau.

De son côté, McMasterville est un endroit désigné pour les familles et habitations bigénérationnelles. Mais encore là, il y a une ombre au tableau. «Nous n’avons plus de terrains vraiment disponibles. Une situation qui pourrait se régler avec la décontamination complète des lots de l’ancienne CIL», fait remarquer le maire Gilles Plante. 

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